mardi 7 juin 2011

Education et travail.

Parler d’éducation au Cameroun c’est faire référence  à tout un grand terrain d’analyse. Ceci du essentiellement a la cohabitation encore trop encrée du moderne et du traditionnel. Quand je parle ici du traditionnel c’est pour considérer  la force qu’occupe encore l éducation familiale, ainsi que l orientation religieuse dans nos sociétés.
La relation entre l’éducation et le travaille est très intime ; ceci dans la mesure où l’un détermine l’autre et vice versa. D’une part, la formation éducative, et plus tard celle professionnelle conditionne l’entrée au monde du travaille ; et d’autre part, elle représente une inversion qui a future servira a renfoncer l’offerte éducative.
Cette analyse peut partir de trois grands acteurs qui interviennent  concurremment dans ce processus, bien que de diverses manières.
Dans un premier temps nous avons le sujet au processus enseignement apprentissage. Celui peut être, selon ses nécessités personnelles, un adolescent, un adulte, travailleur ou non. C est en fonction de ses besoins qu’il orientera son choix vers telle ou telle institution ou offerte éducative. Pour ce qui est de ses motivations propres, nulles n est doute quelle peuvent être de diverses natures. Ainsi en est’ il ceux qui étudient par obligation, comme corvée familiale, ou même alors comme alternative pour fuir des réalités de la vie adulte.
L’éducation pour le jeune camerounais en fait n’a plus la place qu’elle avait d’antan ; ce contenue valeureux qu’on lui attribuait n’est plus le même. La raison ? : Pourquoi fréquenter s’il n y du travail que pour ceux qui connaissent des gens hauts places ? À quoi me sert’ il si mon cousin a déjà raté le concours de … « n » fois.
En second lieu nous avons la famille, qui est noyau, le point de départ du processus d apprentissage. Aujourd’hui non seulement on assiste a une croissante désintégration de celle-ci, ajoute aux problèmes conjoncturels (pensant ici au changement sociodémographique, économique et culturel), l’éducation est relaye a un second plan ; voir même cinquième ou sixième.
Ceci n est d’ailleurs pas étrange, quand le gouvernement avec ses politiques pas très convaincantes concernant le secteur éducation, agit dans le même ordre d’idée.
L’éducation, qui est en soit une garantie constitutionnelle et par conséquent un droit fondamental conférée para la République a tout citoyen camerounais ; n est aujourd’hui que sujet divers.
On arrive ici donc a une prémisse « populaire » selon laquelle c est pas l’éducation qui donne le travail : ceci est tout a fait légitime dans la mesure où les besoins exigent ! On doit se battre a se mettre quelque chose sous la dent.
Mais combien de temps durera cette situation ?
Ou alors que faut il faire ?