mardi 15 février 2011

Interêt social


Dans les temps modernes, le concept de dignité a été reformulé: la dignité de l'homme découle de la nature humaine, et telle la nature est progressivement dissociée de toute origine divine. Tout aussi comme dans l'ère pré-moderne des compliments aux capacités humaines sont faites, mais cette fois en les déduisant de la dignité humaine sans recourir à une parenté religieuse.

      
L'anthropocentrisme est bien conservé, car elle met l'accent sur l'unité de l'espèce humaine par rapport à d'autres êtres. Cette reformulation partielle de la notion de dignité humaine a ajouté un plus profond: l'homme est une fin en soi et doit être traitée comme telle et non comme un simple moyen.

           Pour le
positivisme juridique, le droit est aussi le résultat de la volonté des autorités de l'Etat, qui sont ceux qui détermine ce qui est juridiquement correcte et légitime, et ce qui ne l’est pas.En matière d'éthique, le positivisme et l'empirisme expriment seulement une notion subjective de consensus. L'exemple de l'accord d'un groupe ou un peuple crée les valeurs, la même façon que certaines pratiques et coutumes.
Le travail devrait présenter certaines caractéristiques minimes qui aident à répondre aux aspirations de la personne humaine. A cette fin, ont été considérés comme droits fondamentaux du travailleur ceux établis par les conventions de l’OIT.